Le Erlin 79, couteau en padouk

Modèle iconique de notre atelier, c’est la pièce que Elie a dessiné le jour où il est passé professionnel. Depuis, nombre de client-e-s se le sont approprié dans un usage quotidien, que ce soit à table ou au bricolage.

Côté bois, on a misé sur un manche en padouk. Le padouk est un bois exotique qui a tendance à foncer avec le temps (les UV et l’acidité de la sueur en réalité). Vous pouvez compter sur un joli grenat, à terme.

Côté mensurations:
Il fait une longueur totale de 18 cm environ.
Son tranchant est de 7.8 cm environ.
Excellente prise en main.

Son acier est du XC75, un acier peu capricieux à la finition ici miroir.
Comme tous les aciers carbones, il n’est pas inox et va se patiner encore plus avec le temps et l’usage: un peu comme les couteaux de famille.

Ce Erlin est un couteau tiré d’une série de lames du même nom. C’est une pièce unique même si la forme est approximativement identique aux autres couteaux de cette série.
Chaque pièce est unique, le restera et est entièrement réalisée et forgée dans notre atelier en Deux sèvres.

Son histoire dans l’univers d’Acryle
C’est un couteau assez rare et n’est que peu représenté dans l’univers d’Acryle. Il est généralement utilisé par des peuples barbares et suit la personne de l’enfance à la mort. Le nombre de trous sur le plat de la lame indique le nombre de hauts faits accomplis ; plus ils sont gros et plus le haut fait a été important. Le nombre de stries sur le dos de la lame, quant à lui, indique le nombre d’escarmouches victorieuses vécues par le porteur du couteau. C’est un couteau utilitaire, certes, mais aussi un livre ouvert sur l’histoire du porteur.

Les petits plus
Comme toujours, livré par hibou avec son certificat d’authenticité! Nos lames bénéficient d’un entretien à vie dans notre Atelier et sont garanties dans la limite d’une utilisation normale. Parce qu’on est sympa, mais aussi qu’on aime bien prendre des nouvelles de nos créations.

Il est important de ne jamais utiliser de lave-vaisselle, ni le grattoir d’une éponge pour laver une lame. Dans le premier cas, vous la ferez rouiller, dans le second, vous la rayerez (et la rendrez plus sensible à la rouille...).
Nettoyer la lame peut se faire à l’eau – en la séchant tout de suite – ou à l’huile : cela permettra à une patine plus harmonieuse de venir. Nettoyer le manche, peut se faire à l’huile également, en cas de tache tenace, vous pouvez également re-poncer au grain 1200 et re-cirer ou huiler celui-ci.